UTILISÉ COMME VIDE COUILLES À L’INTERNAT

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il y a 7 ans

UTILISÉ COMME VIDE COUILLES À L’INTERNAT

Ça c’est passer lorsque j’étais à l’internat j’avais 18 ans à l’époque.

Au réfectoire un soir je fais la connaissance de 2 mecs de 3eme année, un brun plutôt costaud et un blond de taille moyenne. On sympathise en bavardant un peu et à la fin du diner ils m’invitent à venir faire un poker dans leur chambre. Ne sachant pas trop y jouer mais les trouvant plutôt cool je ne refuse pas.

  •   T’as qu’à venir après 22h, après le passage du surveillant dans les couloirs…
    
  •   Ok…
    

En attendant l’heure je me douche et révise un peu mes cours. A 22h30 je frappe à leur porte.

  •   Vas-y entre…
    

Bien que se soit une chambre avec leur propre lit, ils l’ont aménagé comme un petit salon, possédant chacun un fauteuil pour regarder la télé avec entre les 2 une petite table ronde. Le blond se redresse et me tends la main en me disant.

  •   Cool… sert m’en 5…
    

S’en me méfier je lui sers une poigné de main. Me la tenant fermement, sans lâcher prise il me la dirige sur son entrejambe. Là, sans avoir eu le temps de réagir le brun costaud se lève, me fait une clé du bras gauche et me bâillonne la bouche d’une main en me disant :

  •   Chuuuut…. Tais toi… si t’es sage tout se passera bien…
    

Je tente de me débattre mais le blond qui me tien encore le poigné me gifle de son autre main et me dis :

  •   T’as entendu c’qu’il t’a dit ? reste tranquille et ferme la sinon…ben sinon… tu risques de passer un sale ¼ d’heure t’as compris ?
    

J’acquiesce d’un signe de tête, il me lâche alors la main, dégrafe son pantalon et sort sa bite à demis molle. Le costaud toujours en me maintenant par le bras m’oblige à me mettre à me mettre à genoux et en enlevant sa main de ma bouche me dis :

  •   Suce-le…
    

Restant figé sur mes genoux le blondinet me prend par la tête et me fait basculer sur sa queue.

  •   Suce-moi…
    

De ma main libre je me repousse en arrière en criant en signe de désapprobation mais aussi par le mal de mon bras tenu fermement derrière le dos par le brutos qui me remet sa main devant la bouche puis le blondinet me voyant récalcitrant dit :

  •   Bon ben si tu veux pas comprendre on va passer à la vitesse supérieur…
    

En peu de temps qu’il ne faut pour le dire je me retrouve bâillonné avec une chaussette scotchée dans la bouche et les poignées ligotées derrière le dos d’une corde relié à mon cou pour bien me les tenir le plus haut possible. Ne pouvant plus rien faire et dire je ne peu que subir ma mise à poil. Pendant que l’un d’eux découpe mon T-shirt d’une paire de ciseau l’autre m’enlève le pantalon les chaussettes et les chaussures. Puis vient le tour de mon caleçon qu’ils déchirent v i o l emment me retrouvant ainsi complètement nu. Les 2 mecs se rasseyent face à moi, ils m’inspectent de bas en haut et voyant ma queue recroquevillé sur mes couilles le blond me dit d’un air moqueur.

  •   Et ben dis donc… t’as pas été gâté par dame nature toi… pour le coup on va t’appeler p’tite bite…ha, ha, ha !!!...mais avant tous tu va apprendre à obéir…
    

Puis s’adressant à son pote :

  •   A toi de jouer… donne-lui sa 1ere leçon…
    

A ce moment je panique et prends peur car je le vois défaire sa ceinture, pétrifié, ne pouvant parler je fais non de la tête l’implorant des yeux de ne pas faire ce qui lui avait été demandé mais il se place derrière moi et m’assène un coup de ceinturon sur le cul. Comme tout un chacun d’instinct je me réfugies comme je peu dans un coin de la chambre pour éviter d’autre coups mais le blond me reprend en mains, m’installe sur ses genoux, et reçois alors 5 grands coups de ceinturon sur les fesses de la part de son pote. Bien que beuglant, mes cris sont étouffés par la chaussette dans ma bouche et je pleure de douleur.

Suite à ce traitement le costaud me replace à genoux entre les cuisses de son pote. M’enlevant mon bâillon il me dit d’un air tranquille :

  •   Bon… ben maintenant que tu as reçu une correction tu va devenir plus docile n’est-ce pas ?
    

Reprenant à peine mon souffle je lui fais un oui de la tête.

  •   Très bien… alors vas-y suce moi…
    

Sans me laisser le temps de réagir le costaud qui est derrière moi me prend par le cou et me bascule sur sa bite en me disant :

  •   Allez… suce le…
    

M’appliquant du mieux que je peu je reçois néanmoins quelques gifles pour m’obliger à sucer comme il le désir.

  •   Mieux que ça p’tite bite… lèche… voila… maintenant suce… aspire… c’est bien p’tite bite… tu commence à savoir sucer… continu…
    

Il se fou à poil et en relevant ses cuisses me dis :

  •   Lèche moi le cul p’tite bite… vas-y… enfonce ta langue dans mon fion… hummm… Ouaiiii… c’est bon…
    

Après une alternance de bouffage de cul et de suce je dois passer à la bite de son pote pendant qu’il s’occupe de mon trou du cul en m’enfonçant un doigt. Me sentant serré il m’enduit la rondelle de gel et sans précaution aucune il m’encule. La rentrée de son gland m’arrache un cri de douleur malgré la bite de son pote dans ma bouche et je reçois une claque sur le cul encore endolorie par les coups de ceinturons.

  •   Ta gueule p’tite bite…
    

Me voici pris en sandwich, une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Je me fais ramoner le fion v i o l emment par ce blond en rut pendant que l’autre me baise la bouche. Sans me prévenir le costaud que je suce me joui dans la bouche, ne m’y attendant pas je recrache son foutre en toussant et le blond ne tarde pas à me remplir le cul de son jus. Ils me détachent en me disant :

  •   Bon allez… c’est bon maintenant casse toi…
    

Reprenant mes affaires sous le bras je rejoins ma chambre en passant par la douche pour me laver de toute cette souillure. Le lendemain j’invoquais une monté de température auprès de mon prof principale affin de rester cloîtré dans ma chambre pour ne pas rencontrer mes 2 lascars mais le surlendemain je n’ai pu faire autrement que d’aller en cours. Au déjeuner les voici qui se joignent à moi.

  •   Alors p’tite bite… ça va ? on t’as pas vu hier…qu’est-ce qui t’es arrivé ?
    

Me sentant en sécurité en public je ne réponds pas et baisse les yeux.

  •   Hey p’tite bite... regarde moi et répond moi quand j’te parle…
    
  •   Foutez-moi la paix…
    
  •   Ho ! mais c’est que tu te rebifferais on dirait…
    
  •   Non mais maintenant que vous vous êtes bien amusés c’est bon… lâchez moi…pauvres tarés va…
    

Mon dieu ! Que n’avais-je pas dit là !!!!! Je le sus aussitôt le soir même car tous d’2 firent irruption dans ma chambre. Habilement je suis ligoté et bâillonné sans avoir le temps de dire ouf…

  •   Alors comme ça on est des pauvres tarés ? et bien puisque c’est ça tu vas apprendre à être correct…
    

Là, le blond me couche sur le ventre en me tenant bien sur mon lit pendant que je reçois 10 coups de ceinturon sur le cul de la part du costaud. Je me dandine tant bien que mal sous la douleur des coups et mes cris étouffé par le bâillon. La sentence finie je suis mis à genoux adossé sur le bord du lit, le blond se tient face à moi, il me débâillonne et me dit :

  •   Alors ? on est toujours des pauvres taré ? regarde-moi quand j’te parle p’tite bite…
    

Il a un sourire moqueur et visiblement satisfait de me voir les yeux remplis de larmes il déboutonne son pantalon, baisse son slip à mi-cuisses et me tends sa bite sous le nez.

  •   Allez p’tite bite suce moi la queue…
    

Devant ma résistance il me gifle en me disant :

  •   Tiens… ça c’est pour t’apprendre à obéir… maintenant écoute moi bien… tu vas dorénavant obéir à tous les ordres que je te donnerais, à la moindre désobéissance de ta part tu recevras 5 coups de ceinturon de plus que ta sentence initiale… ce soir tu en es à 10 coups donc la prochaine fois se sera 15 coups puis 20, puis 25 etc.… à toi de voir… soit tu préfères obéir de ton plein gré soit tu préfères te faire rougir le cul… alors ? que décides-tu ?
    

Devant cet ultime choix j’ouvre ma bouche en signe d’approbation à lui obéir.

  •   Et bien voila… tu vois c’est pas compliquer… allez suce maintenant… voila c’est ça… avale la bien…hummm… tire la langue et lèche moi les couilles… hummm Ouaiiii… maintenant remonte le long de ma tige… hummm…. C’est bon ça…je pense que tu va faire une bonne salope et un bon vide couilles…continu à pompé…voila… c’est bien…
    

Le costaud qui a sorti sa bite est en train de se branler devant le spectacle, le blond m’ordonne de le sucer aussi, maintenu par les cheveux je passe de bite en bite en me faisant baiser la bouche. Le costaud est le 1er à jouir en se branlant et m’asperge le visage de son foutre pendant que je suce le blond qui lui aussi ne tarde pas à venir en me giclant dans la bouche. Bien que j’en avale une petite partie je recrache le reste en suffoquant et en toussant.

  •   Hey !!! faut pas recracher la crème comme ça !!!… bon pas grave pour aujourd’hui mais la prochaine fois tu avale la sauce compris ?
    

Il me détache et ramassant mon T-shirt il s’essuie la teub avant de me le balancer au visage.

  •   Tiens p’tite bite nettoie toi la gueule et tous c’que t’a recracher avec et demain soir tu viens avec nous rejoindre dans notre chambre.
    

Le lendemain je frappe à leur porte portant mon T-shirt taché de sperme séché, ils sont déjà en slibard bien ancré dans leur fauteuil.

  •   Approche p’tite bite…déshabille toi mais garde ton T-shirt… une salope doit toujours rester souillé de foutre… à genoux et caresse nous la bite…humm… je vois que tu es devenu un peu plus docile… la leçon d’hier t’as servi à quelque chose au moins…
    

Je m’occupe donc à caresser leur bite que je sens peu à peu gonflé sous le tissu de leur slip, le blond m’ordonne de le sucer, je lui sors alors sa teub et commence à le pompé.

  •   Hummm… voila… c’est ça… avale la bien… oufffffff…. Oui comme ça… tu commence à bien maitrisé maintenant… vas-y lèche… c’est bon la bite hein ?
    

Le costaud s’est débarrasser de son slip et se paluche la queue en me regardant, le blond m’ordonne de le sucer aussi.

  •   Vas-y salope… pompe moi bien…
    

Pendant que je suce le blond se met derrière moi pour m’écarté les fesses, crache sur ma rondelle et y introduit un doigt, il me travaille un peu le fion avant de m’enculer. Ça y est… il se place bien devant mon cul, je sens son gland me caresser le trou et f o r c e le passage ce qui m’arrache un cri de douleur.

  •   Ta gueule p’tite bite… t’es pas là pour beuglé mais pour encaisser les coups de bites…met toi bien dans le crâne que tu n’es qu’un vide couilles et bon qu’à te faire baiser… allez… bouge ton cul maintenant… allez bouge !... enfonce toi mon pieu dans ton cul… travaille toi le fion…allez !!!... ramone toi bien la cheminé… voila comme ça… c’est bien… ondule bien du cul
    

Sous ses ordres j’utilise sa bite comme un god avant qu’il ne prenne les choses en main. Me tenant par les hanches il m’encule à fond et me baise v i o l emment.

  •   Han, han… hummm… t’as un bon cul de salope… tiens, tiens… prend ça…
    

Après quelque bonne 10ene de mn à me faire fourrer il laisse sa place au costaud pour se faire sucer.

  •   Tiens… sens l’odeur de ton cul… allez suce…
    

Le costaud se déchaine dans mon cul et ne tarde pas à se vider les burnes dans mes entrailles dans un grand râle de plaisir.

  •   Haaaaaa !!! Haaaaaa !!! putain !!!.... c’est bonnnnnn….. hummm…..
    

Il reste planté dans mon cul pendant que le blond continu à me baiser la bouche pendant un petit moment.

  •   Ho putain ! j’vais jouir… t’as intérêt à tout avalé salope…
    

Je sens son gland doublé de volume avant qu’il ne m’envois sa purée.

  •   Allez… avale salope, avale… et n’en perd pas une goutte…c’est du bon nectar ça…hummm… hummm…
    

Je réussi tans bien que mal à déglutir tous son foutre. Le costaud ayant débandé sort de mon cul et me tends sa bite flasque englué de sperm à nettoyé.

  •   Hummm… allez c’est bon… on a plus besoins de toi tu peu retourner dans ta piaule…
    

C’est ainsi que j’ai passé le restant de l’année à leur servir de vide couilles, répondant toujours présent à leur demande au minimum 3 fois par semaine. Quelques fois dans la journée lorsque l’un ou l’autre en avait envient ils m’ordonnaient de les suivre aux chiottes ou dans un coin du campus pour se faire sucer ou m’enculer en respectant scrupuleusement la consigne d’avalé leur foutre ou bien de leur nettoyé la bite après chaque enculade.

ANGEL

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